Corso de Menton (2)
Nettement moins beau que la jeune fille précédente mais beaucoup plus impressionnant...
Je me suis jeté dans la parade
Au milieu des cuivres et des tambours
D'ici au moins j'étais sûr que l'on n'entendrait pas ma peine
J'ai pris la marche du carnaval
J'ai défilé comme l'on dérive
Allongé sur le macadam
Je n'ai pas touché la terre ferme
Mes bras, lever la tête lourde
Et le jour qui se lève me rappelle
Chaque instant oublié que si la vie est terrible
Les journées peuvent être si belles
L'absence comme une sœur
Ma plus fidèle des compagnes
Ma cavalière d'honneur
Est entrée dans la danse
Où que j'aille, quoi que je fasse
Elle sera toujours là pour moi
Je ne sais peut-être même plus pourquoi...
Da Silva